Hello les amis,
Nous avons quitté les Vava’u et les Tonga, il y a une petite dizaine de 10 jours.
Nous avons adoré cette délicieuse ballade parmi les 60 iles qui composent ce groupe des Vava’u, réparties sur un plan d’eau d’environ 16 MN sur 18 MN, c'est-à-dire à peine 3 fois la superficie de Paris.
C’est dire les possibilités de mouillage… nous en avons exploré une petite vingtaine, avides de découvrir les coins et recoins de ce mini archipel, avec des paysages très différents de tout ce qu’on a rencontré depuis qu’on a quitté Raiatea.
Et nous n'avons pas été déçus du voyage, je devrais plutôt dire de la promenade, vu que pour changer de décor, de couleur de sable et/ou de nature de fond, la plupart du temps, 2 heures de moteur suffisaient.
Nos voiles ont donc été mises au repos pendant plus de 3 semaines…pour le plus grand bonheur de Leo, qui a pu recharger sans limite ses divers appareils… ;-)
Ces iles volcaniques vertes, assez hautes, qui tombent dans l’eau profonde, pourraient faire penser à des fjords ou des ‘sounds’, comme on en a vu en Nouvelle Zélande. Une baie, celle de Port Maurelle, avec sa plage de sable blanc, nichée entre de petites falaises dont les hauts sont peuplés de palmiers et cocotiers, nous a rappelé un certain paysage des Marquises (quand te reverrai-je ? ;-)) , la baie de Hanamoenoa à Tahuata.
On s’est ragalés en snorkling, avec une visibilité exceptionnelle jusqu’à 50 mètres, sur les tombants, dans les caves ou encore dans des ‘jardins’ de corail.
Autre agrément de cette escale tongienne, c’est la possibilité de revenir régulièrement à Nieafu, la ville principale et animée des Vava’u (genre petite station balnéaire avec ses bars plongeant sur la baie), le temps de faire les courses, mais surtout de boire quelques bières avec les amis de passage.
On en a également profité avec Nath pour aller au resto en tête en tête, Leo pratiquant désormais des tarifs acceptables pour le baby sitting…
C’est ce qu’on appelle une escale sociale. Et on aime ça, partager le bon temps, comme on aime également jouer les Robinsons.
Nous avons retrouvé avec bonheur Scott et Cindy de Beachouse et Simon et ses potes (mes compagnons allemands de kite à Uoleva aux Ha'paï).
Belles rencontres également que celles de Jenny P (famille de Seatlle avec 3 enfants), de Proximity (des californiens de San Francisco), et même d’un toulousain et d’une canadienne, deux équipiers d’un voiler du Maine, avec lesquels on s’est fait plaisir le temps d’un déjeuner à bord de Na Maka.
Et puis, autre rencontre amusante et très sympa, les LET IT BE (famille belge avec 3 enfants aussi). Avant de partir, courant 2ème semestre 2008, j’avais fait un stage de mécanique diesel à Nantes et j’y avais rencontré Eric de LET IT BE, apprenti mécano de fortune comme moi.
Alors, le retrouver aux Tonga, avec sa famille, non pas les mains dans le camboui mais dans le komo (sorte de bière locale fabriquée à la maison ou en bateau), c’était vraiment cool !
Et je dois dire que le komo d’Eric est un must… et qu’on ne s’est pas privés ;-) !
Jeudi 16 septembre en fin de journée, nous avons mis les voiles pour les Fidji.
Au terme de 3 jours et 4 nuits d’une superbe navigation (le genre de navigation qui fait qu’on regrette d’être déjà arrivés tellement on était bien en mer, hors du temps…), nous avons jeté l’ancre à Suva, la capitale.
Bisous à tous,
Jérôme
Nous avons quitté les Vava’u et les Tonga, il y a une petite dizaine de 10 jours.
Nous avons adoré cette délicieuse ballade parmi les 60 iles qui composent ce groupe des Vava’u, réparties sur un plan d’eau d’environ 16 MN sur 18 MN, c'est-à-dire à peine 3 fois la superficie de Paris.
C’est dire les possibilités de mouillage… nous en avons exploré une petite vingtaine, avides de découvrir les coins et recoins de ce mini archipel, avec des paysages très différents de tout ce qu’on a rencontré depuis qu’on a quitté Raiatea.
Et nous n'avons pas été déçus du voyage, je devrais plutôt dire de la promenade, vu que pour changer de décor, de couleur de sable et/ou de nature de fond, la plupart du temps, 2 heures de moteur suffisaient.
Nos voiles ont donc été mises au repos pendant plus de 3 semaines…pour le plus grand bonheur de Leo, qui a pu recharger sans limite ses divers appareils… ;-)
Ces iles volcaniques vertes, assez hautes, qui tombent dans l’eau profonde, pourraient faire penser à des fjords ou des ‘sounds’, comme on en a vu en Nouvelle Zélande. Une baie, celle de Port Maurelle, avec sa plage de sable blanc, nichée entre de petites falaises dont les hauts sont peuplés de palmiers et cocotiers, nous a rappelé un certain paysage des Marquises (quand te reverrai-je ? ;-)) , la baie de Hanamoenoa à Tahuata.
On s’est ragalés en snorkling, avec une visibilité exceptionnelle jusqu’à 50 mètres, sur les tombants, dans les caves ou encore dans des ‘jardins’ de corail.
Autre agrément de cette escale tongienne, c’est la possibilité de revenir régulièrement à Nieafu, la ville principale et animée des Vava’u (genre petite station balnéaire avec ses bars plongeant sur la baie), le temps de faire les courses, mais surtout de boire quelques bières avec les amis de passage.
On en a également profité avec Nath pour aller au resto en tête en tête, Leo pratiquant désormais des tarifs acceptables pour le baby sitting…
C’est ce qu’on appelle une escale sociale. Et on aime ça, partager le bon temps, comme on aime également jouer les Robinsons.
Exploration des grottes, Leo toujours partant....
Nous avons retrouvé avec bonheur Scott et Cindy de Beachouse et Simon et ses potes (mes compagnons allemands de kite à Uoleva aux Ha'paï).
Belles rencontres également que celles de Jenny P (famille de Seatlle avec 3 enfants), de Proximity (des californiens de San Francisco), et même d’un toulousain et d’une canadienne, deux équipiers d’un voiler du Maine, avec lesquels on s’est fait plaisir le temps d’un déjeuner à bord de Na Maka.
Et puis, autre rencontre amusante et très sympa, les LET IT BE (famille belge avec 3 enfants aussi). Avant de partir, courant 2ème semestre 2008, j’avais fait un stage de mécanique diesel à Nantes et j’y avais rencontré Eric de LET IT BE, apprenti mécano de fortune comme moi.
Alors, le retrouver aux Tonga, avec sa famille, non pas les mains dans le camboui mais dans le komo (sorte de bière locale fabriquée à la maison ou en bateau), c’était vraiment cool !
Et je dois dire que le komo d’Eric est un must… et qu’on ne s’est pas privés ;-) !
Jeudi 16 septembre en fin de journée, nous avons mis les voiles pour les Fidji.
Au terme de 3 jours et 4 nuits d’une superbe navigation (le genre de navigation qui fait qu’on regrette d’être déjà arrivés tellement on était bien en mer, hors du temps…), nous avons jeté l’ancre à Suva, la capitale.
Bisous à tous,
Jérôme
1 commentaire:
C'est trop top !
Tuyen
Enregistrer un commentaire